Pr 1.4
Vinītavatthu
{Extraits résumés}
— Cas de référence —

Cette section regroupe un grand nombre d'anecdotes présentant des situations de référence ou des situations où le verdict n'est pas évident, avec la déclaration donnée par le Bouddha dans chaque cas. Utile pour comprendre comment le Bouddha réglait les affaires de disciplines, ainsi que les difficultés rencontrées par les bhikkhus à l'époque.



Pāḷi



Manussitthiyā tayo magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe. Amanussitthiyā tayo magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe. Tiracchānagatitthiyā tayo magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe. Manussubhatobyañjanakassa tayo magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe. Amanussubhatobyañjanakassa tayo magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe. Tiracchānagatubhatobyañjanakassa tayo magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe. Manussapaṇḍakassa dve magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, mukhe. Amanussapaṇḍakassa dve magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, mukhe. Tiracchānagatapaṇḍakassa dve magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, mukhe. Manussapurisassa dve magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, mukhe. Amanussapurisassa dve magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, mukhe. Tiracchānagatapurisassa dve magge methunaṃ dhammaṃ paṭisevantassa āpatti pārājikassa: vaccamagge, passāvamagge, mukhe.

Résumé



Celui qui s'engage dans une activité sexuelle avec une femme humaine d'une de ces trois manières effectue une transgression pārājika: par l'anus, par le canal urinaire ou par la bouche. De même pour une femme non-humaine, une femelle animale, un hermaphrodite humain, non-humain ou animal. De même pour un eunuque humain, non-humain ou animal, pour un homme humain, non-humain ou un mâle animal, mais dans leur cas seulement par l'anus ou la bouche.

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Tena kho pana samayena aññataro māṇavako uppalavaṇṇāya bhikkhuniyā paṭibaddhacitto hoti. Atha kho so māṇavako uppalavaṇṇāya bhikkhuniyā gāmaṃ piṇḍāya paviṭṭhāya kuṭikaṃ pavisitvā nilīno acchi. Uppalavaṇṇā bhikkhunī pacchābhattaṃ piṇḍapātapaṭikkantā pāde pakkhāletvā kuṭikaṃ pavisitvā mañcake nisīdi. Atha kho so māṇavako uppalavaṇṇaṃ bhikkhuniṃ uggahetvā dūsesi. Uppalavaṇṇā bhikkhunī bhikkhunīnaṃ etamatthaṃ ārocesi. Bhikkhuniyo bhikkhūnaṃ etamatthaṃ ārocesuṃ. Bhikkhū bhagavato etamatthaṃ ārocesuṃ. ‘‘Anāpatti, bhikkhave, asādiyantiyā ti.

Un certain jeune homme est tombé amoureux de la bhikkhuni Uppalavaṇṇā. Pendant qu'elle s'est rendue au village pour y mendier ses aumônes, le jeune homme entre dans sa kuti et s'y cache. A son retour, lorsqu'elle entre dans sa kuti, le jeune homme s'empare d'elle et la viole. La bhikkhuni Uppalavaṇṇā informe les bhikkhunis, qui informent les bhikkhus, lesquels en réfèrent au Bouddha, qui déclare qu'il n'y a aucune transgression puisqu'elle n'était pas consentante.

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Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu mudupiṭṭhiko hoti. So anabhiratiyā pīḷito attano aṅgajātaṃ mukhena aggahesi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘āpattiṃ tvaṃ, bhikkhu, āpanno parājika’’nti.

Un bhikkhu a un dos très souple. A un moment où il est frustré, tourmenté, il fait pénétrer son organe dans sa propre bouche. Il est ensuite frappé par le remords et se demande s'il a commis une transgression pārājika. Il informe le Bouddha qui lui confirme qu'il a commis une transgression pārājika.

Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu lambī hoti. So anabhiratiyā pīḷito attano aṅgajātaṃ attano vaccamaggaṃ pavesesi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘āpattiṃ tvaṃ, bhikkhu, āpanno pārājika’’nti.

Un bhikkhu a un long pénis, capable d'être plié. A un moment où il est frustré, tourmenté, il fait pénétrer son organe dans son propre anus... le Bouddha confirme la transgression pārājika.

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Tena kho pana samayena sundaro nāma bhikkhu rājagahā pabbajito rathikāya gacchati. Aññatarā itthī: ‘muhuttaṃ, bhante āgamehi, vandissāmī’ti sā vandantī antaravāsakaṃ ukkhipitvā mukhena aṅgajātaṃ aggahesi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘sādiyi tvaṃ, bhikkhū ti? ‘‘Nāhaṃ, bhagavā, sādiyi’’nti. ‘‘Anāpatti, bhikkhu, asādiyantassā ti.

Un bhikkhu nommé Sundara marche le long d'une route. Une femme lui demande d'attendre un instant car elle veut lui rendre hommage. Pendant qu'elle lui rend hommage, ayant saisi ses sous-vêtement, elle fait pénétrer son organe dans sa bouche. Il est ensuite frappé par le remords et se demande s'il a commis une transgression pārājika. Il informe le Bouddha qui lui demande s'il était consentant. La réponse étant négative, le Bouddha déclare qu'il n'y a eu aucune transgression car il n'était pas consentant.

Tena kho pana samayena aññatarā itthī bhikkhuṃ passitvā etadavoca:

— Ehi, Bhanté methunaṃ dhammaṃ paṭisevā ti.

— Alaṃ, bhagini, netaṃ kappatī ti.

— Ehi, Bhanté ahaṃ vāyamissāmi, tvaṃ mā vāyami, evaṃ te anāpatti bhavissatī ti.

So bhikkhu tathā akāsi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘āpattiṃ tvaṃ, bhikkhu, āpanno pārājika’’nti.

Une femme, voyant un bhikkhu, lui dit:

— Venez, Bhanté ayons une relation sexuelle.

— Arrête, sœur, cela n'est pas correct.

— Venez, Bhanté je ferai l'effort, vous ne ferez aucun effort, et ainsi il n'y aura pas de transgression.

Le bhikkhu agit de la manière convenue. Il est ensuite frappé par le remords... le Bouddha confirme la transgression pārājika.

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Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu sivathikaṃ gantvā chinnasīsaṃ passitvā vaṭṭakate mukhe chupantaṃ aṅgajātaṃ pavesesi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘āpattiṃ tvaṃ, bhikkhu, āpanno pārājika’’nti.

Un bhikkhu se trouve dans un charnier, et voyant une tête décapitée, il fait pénétrer son membre en touchant la bouche. Il est ensuite frappé par le remords... le Bouddha confirme la transgression pārājika.

Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu sivathikaṃ gantvā chinnasīsaṃ passitvā vaṭṭakate mukhe acchupantaṃ aṅgajātaṃ pavesesi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘anāpatti, bhikkhu, pārājikassa. Āpatti dukkaṭassā ti.

Un bhikkhu se trouve dans un charnier, et voyant une tête décapitée, il fait pénétrer son membre sans toucher la bouche. Il est ensuite frappé par le remords et se demande s'il a commis une transgression pārājika. Il informe le Bouddha qui lui dit qu'il n'a pas commis une transgression pārājika, mais une transgression dukkaṭa.

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Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu upahatindriyo hoti. So: ‘nāhaṃ vediyāmi sukhaṃ vā dukkhaṃ vā, anāpatti me bhavissatī’ti, methunaṃ dhammaṃ paṭisevi. Bhagavato etamatthaṃ ārocesuṃ. ‘‘Vedayi vā so, bhikkhave, moghapuriso na vā vedayi, āpatti pārājikassā ti.

Un bhikkhu a ses facultés sensorielles affaiblies. Il pense: 'je ne ressens pas le plaisir ni la douleur, il n'y aura pas de transgression' et s'engage dans l'acte sexuel. L'affaire est rapportée au Bouddha, qui déclare: 'que ce sot ait ressenti quelque chose ou qu'il n'ait rien ressenti, il a commis une transgression pārājika'.

Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu bhaddiye jātiyāvane divāvihāragato nipanno hoti. Tassa aṅgamaṅgāni vātūpatthaddhāni honti. Aññatarā itthī passitvā aṅgajāte abhinisīditvā yāvadatthaṃ katvā pakkāmi. Bhikkhū kilinnaṃ passitvā bhagavato etamatthaṃ ārocesuṃ. ‘‘Pañcahi, bhikkhave, ākārehi aṅgajātaṃ kammaniyaṃ hoti: rāgena, vaccena, passāvena, vātena, uccāliṅgapāṇakadaṭṭhena. Imehi kho, bhikkhave, pañcahākārehi aṅgajātaṃ kammaniyaṃ hoti. Aṭṭhānametaṃ, bhikkhave, anavakāso yaṃ tassa bhikkhuno rāgena aṅgajātaṃ kammaniyaṃ assa. Arahaṃ so, bhikkhave, bhikkhu. Anāpatti, bhikkhave, tassa bhikkhuno ti.

Un bhikkhu s'est rendu dans la forêt de Jātiyā à Bhaddiya, pour y séjourner pendant la journée. Tous ses membres sont durcis par les vents (il a une érection). Une femme le voit et, s'assoit sur son membre, et en ayant fait autant qu'elle le voulait, s'en va. Les bhikkhus, ayant vu l'humidité (sur son membre) informent le Bouddha: 'Il y a, bhikkhus, cinq raisons pour lesquelles un membre se met en action: à cause du désir, à cause des excréments, à cause de l'urine, à cause des vents, à cause de la piqûre d'un insecte ou d'une chenille. Voici, bhikkhus, quelles sont les cinq raisons pour lesquelles un membre se met en action. Il est impossible que le membre de ce bhikkhu soit entré en action à cause du désir. Ce bhikkhu est un arahant, bhikkhus. Pour ce bhikkhu il n'y a pas eu de transgression, bhikkhus.'

Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu sāvatthiyā andhavane divāvihāragato nipanno hoti. Aññatarā gopālikā passitvā aṅgajāte abhinisīdi. So bhikkhu pavesanaṃ sādiyi, paviṭṭhaṃ sādiyi, ṭhitaṃ sādiyi, uddharaṇaṃ sādiyi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘āpattiṃ tvaṃ, bhikkhu, āpanno pārājika’’nti.

Un bhikkhu s'est rendu à la forêt sombre près de Sāvatthī pour y séjourner pendant la journée. Une vachère, l'ayant vu, s'assoit sur son membre. Le bhikkhu consent à l'application, à la pénétration, au fait de rester, au fait de retirer. Il est ensuite frappé par le remords... le Bouddha confirme la transgression pārājika.

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Tena kho pana samayena aññataro bhikkhu vesāliyaṃ mahāvane divāvihāragato nipanno hoti. Aññatarā itthī passitvā aṅgajāte abhinisīditvā yāvadatthaṃ katvā sāmantā hasamānā ṭhitā hoti. So bhikkhu paṭibujjhitvā taṃ itthiṃ etadavoca – ‘‘tuyhidaṃ kamma’’nti? ‘‘Āma, mayhaṃ kamma’’nti. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘sādiyi tvaṃ, bhikkhū ti? ‘‘Nāhaṃ, bhagavā, jānāmī ti. ‘‘Anāpatti, bhikkhu, ajānantassā ti.

Un bhikkhu s'est rendu à la grande forêt près de Sāvatthī pour y séjourner pendant la journée. Une femme, l'ayant vu, s'assoit sur son membre, et en ayant fait autant qu'elle le voulait, se tient debout en riant. Le bhikkhu, se réveillant, demande à la femme: 'as-tu fait cela?'. Elle répond par l'affirmative. Il est ensuite frappé par le remords et se demande s'il a commis une transgression pārājika. Il informe le Bouddha qui lui demande s'il a consentit. Il répond qu'il ne savait pas. Le Bouddha déclare qu'il n'y a pas eu de transgression puisqu'il ne savait pas.

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Tena kho pana samayena aññataro bhārukacchako bhikkhu supinante purāṇadutiyikāya methunaṃ dhammaṃ paṭisevitvā: ‘assamaṇo ahaṃ, vibbhamissāmī’ti, bhārukacchaṃ gacchanto antarāmagge āyasmantaṃ upāliṃ passitvā etamatthaṃ ārocesi. Āyasmā upāli evamāha: ‘‘anāpatti, āvuso, supinantenā ti.

Un bhikkhu de Bhārukacchaka rêve qu'il a commis un acte sexuel avec son ancienne épouse et pense que par conséquent il n'est plus un renonçant. Sur le chemin menant à Bhārukacchaka (il a apparemment décidé de rentrer chez lui), il rencontre le vénérable Upāli, et lui raconte ce qui s'est passé. Celui-ci lui répond qu'il n'y a pas de transgression, puisque c'était dans un rêve.

Tena kho pana samayena rājagahe supabbā nāma upāsikā mudhappasannā hoti. Sā evaṃdiṭṭhikā hoti: ‘‘yā methunaṃ dhammaṃ deti sā aggadānaṃ detī ti. Sā bhikkhuṃ passitvā etadavoca:

— Ehi, Bhanté methunaṃ dhammaṃ paṭisevā ti.

— Alaṃ, bhagini, netaṃ kappatī ti.

— Ehi, Bhanté ūruntarikāya ghaṭṭehi, evaṃ te anāpatti bhavissatī ti. So bhikkhu tathā akāsi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘anāpatti, bhikkhu, pārājikassa. Āpatti saṅghādisesassā ti.

A Rājagaha, une femme disciple laïque nommée Supabbā est douée d'une sotte conviction. Elle croit que celle qui offre l'acte sexuel offre la meilleure des offrandes.{1} Voyant un bhikkhu, elle dit:

— Venez, Bhanté engagez-vous dans l'acte sexuel.

— Arrête, sœur, cela n'est pas correct.

— Venez, Bhanté frottez entre les cuisses, ainsi il n'y aura pas de transgression. Le bhikkhu agit comme convenu. Il est ensuite frappé par le remords et se demande s'il a commis une transgression pārājika. Il informe le Bouddha qui lui dit qu'il n'y a pas de transgression pārājika, mais une transgression saṅghādisesa.

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Tena kho pana samayena aññataro vuḍḍhapabbajito bhikkhu purāṇadutiyikāya dassanaṃ agamāsi. Sā: ‘ehi, Bhanté vibbhamā’ti aggahesi. So bhikkhu paṭikkamanto uttāno paripati. Sā ubbhajitvā aṅgajāte abhinisīdi. Tassa kukkuccaṃ ahosi ‘‘bhagavatā sikkhāpadaṃ paññattaṃ, kacci nu kho ahaṃ pārājikaṃ āpattiṃ āpanno ti? Bhagavato etamatthaṃ ārocesi. ‘‘sādiyi tvaṃ, bhikkhū ti? ‘‘Nāhaṃ, bhagavā, sādiyi’’nti. ‘‘Anāpatti, bhikkhu, asādiyantassā ti.

Un bhikkhu qui a quitté son foyer depuis longtemps va voir son ex-femme. Elle lui demande de quitter son statut, de revenir à la maison, et elle l'attrape. Le bhikkhu, en reculant, tombe sur le dos. Relevant ses sous-vêtements, elle s'assoit sur son membre. Il est ensuite frappé par le remords et se demande s'il a commis une transgression pārājika. Il informe le Bouddha qui lui demande s'il a consentit. Il n'y a pas de transgression, puisque le bhikkhu n'a pas consenti.

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Bodhi leaf


D'après la Traduction de I.B. Horner publiée par la PTS: Book of the Discipline, part I.

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