— La cité — L'allégorie de l'ancienne cité abandonnée retrouvée par hasard en plein cœur de la forêt. |
Pāḷisāvatthiyaṃ ... pe ... |
FrançaisUn jour, le Fortuné séjournait près de Savatthi (…) |
“pubbe me, bhikkhave, sambodhā anabhisambuddhassa bodhisattasseva sato etadahosi — ‘kicchā vatāyaṃ loko āpanno jāyati ca jīyati ca mīyati ca cavati ca upapajjati ca. atha ca panimassa dukkhassa nissaraṇaṃ nappajānāti jarāmaraṇassa. kudāssu nāma imassa dukkhassa nissaraṇaṃ paññāyissati jarāmaraṇassā’’ti? | «Mendiants, avant mon éveil, lorsque je n'étais qu'un bodhisatta, pas encore éveillé, je me suis dit: “Hélas! Ce monde est tombé dans la misère: il naît, il vieillit, il meurt, il transmigre et il réapparaît, mais il ne discerne pas l'émancipation à l'égard du mal-être, du vieillissement et de la mort. Quand donc l'émancipation vis-à-vis du mal-être, du vieillissement et de la mort sera-t-elle discernée?” |
“tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — ‘kimhi nu kho sati jarāmaraṇaṃ hoti, kiṃpaccayā jarāmaraṇan’’ti ? tassa mayhaṃ, bhikkhave, yoniso manasikārā ahu paññāya abhisamayo — ‘jātiyā kho sati jarāmaraṇaṃ hoti, jātipaccayā jarāmaraṇan’””ti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont le vieillissement et la mort s'ensuivent, quelle est la condition [de l'apparition] du vieillissement et de la mort?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a la naissance, le vieillissement et la mort s'ensuivent, la naissance est la condition [de l'apparition] du vieillissement et de la mort.” |
“tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — ‘kimhi nu kho sati jāti hoti ... pe ... | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont la naissance s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] de la naissance?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a l'existence, la naissance s'ensuit, l'existence est la condition [de l'apparition] de la naissance.” |
bhavo hoti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont l'existence s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] de l'existence?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a l'attachement, l'existence s'ensuit, l'attachement est la condition [de l'apparition] de l'existence.” |
upādānaṃ hoti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont l'attachement s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] de l'attachement?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a la Soif, l'attachement s'ensuit, la Soif est la condition [de l'apparition] de l'attachement.” |
taṇhā hoti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont la Soif s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] de la Soif?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a le ressenti, la Soif s'ensuit, le ressenti est la condition [de l'apparition] de la Soif.” |
vedanā hoti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont le ressenti s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] du ressenti?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a le contact, le ressenti s'ensuit, le contact est la condition [de l'apparition] du ressenti.” |
phasso hoti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont le contact s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] du contact?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a les organes des sens, le contact s'ensuit, les organes des sens sont la condition [de l'apparition] du contact.” |
saḷāyatanaṃ hoti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont les organes des sens s'ensuivent, quelle est la condition [de l'apparition] des organes des sens?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a le Nom-et-Forme, les organes des sens s'ensuivent, le Nom-et-Forme est la condition [de l'apparition] des organes des sens.” |
nāmarūpaṃ hoti. kiṃpaccayā nāmarūpan’’ti? tassa mayhaṃ, bhikkhave, yoniso manasikārā ahu paññāya abhisamayo — ‘viññāṇe kho sati nāmarūpaṃ hoti, viññāṇapaccayā nāmarūpan’’ti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont le Nom-et-Forme s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] du Nom-et-Forme?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a la conscience, le Nom-et-Forme s'ensuit, la conscience est la condition [de l'apparition] du Nom-et-Forme.” |
tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — ‘kimhi nu kho sati viññāṇaṃ hoti, kiṃpaccayā viññāṇan’’ti ? tassa mayhaṃ, bhikkhave, yoniso manasikārā ahu paññāya abhisamayo — ‘nāmarūpe kho sati viññāṇaṃ hoti, nāmarūpapaccayā viññāṇan’””ti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont la conscience s'ensuit, quelle est la condition [de l'apparition] de la conscience?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il y a le Nom-et-Forme, la conscience s'ensuit, le Nom-et-Forme est la condition [de l'apparition] de la conscience.” |
“tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — paccudāvattati kho idaṃ viññāṇaṃ nāmarūpamhā na paraṃ gacchati. ettāvatā jāyetha vā jīyetha vā mīyetha vā cavetha vā upapajjetha vā, yadidaṃ nāmarūpapaccayā viññāṇaṃ; viññāṇapaccayā nāmarūpaṃ; nāmarūpapaccayā saḷāyatanaṃ; saḷāyatanapaccayā phasso … pe … evametassa kevalassa dukkhakkhandhassa samudayo hoti. ‘samudayo, samudayo’’ti kho me, bhikkhave, pubbe ananussutesu dhammesu cakkhuṃ udapādi ñāṇaṃ udapādi paññā udapādi vijjā udapādi āloko udapādi. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Cette conscience fait demi-tour, elle ne dépasse pas le Nom-et-Forme. C'est dans cette mesure qu'on naît, vieillit, meurt, transmigre et réapparaît, c'est-à-dire que le Nom-et-Forme est la condition [de l'apparition] de la conscience; la conscience est la condition [de l'apparition] du Nom-et-Forme; le Nom-et-Forme est la condition [de l'apparition] des organes des sens; les organes des sens sont la condition [de l'apparition] du contact; le contact est la condition [de l'apparition] du ressenti; le ressenti est la condition [de l'apparition] de la Soif; la Soif est la condition [de l'apparition] de l'attachement; l'attachement est la condition [de l'apparition] de l'existence; l'existence est la condition [de l'apparition] de la naissance; la naissance est la condition [de l'apparition] du vieillissement et de la mort, du chagrin, des lamentations, des douleurs, des déplaisances mentales et de la détresse.” Et en rapport à des choses non apprises auparavant, la vision apparut, la connaissance apparut, le discernement apparut, la véritable connaissance apparut, la lumière apparut en moi: “apparition, apparition!” |
“tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — ‘kimhi nu kho asati, jarāmaraṇaṃ na hoti; kissa nirodhā jarāmaraṇanirodho’’ti? tassa mayhaṃ, bhikkhave, yoniso manasikārā ahu paññāya abhisamayo — ‘jātiyā kho asati, jarāmaraṇaṃ na hoti; jātinirodhā jarāmaraṇanirodho’’ti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont l'absence fait qu'il n'y a pas le vieillissement et la mort, quel est ce dont la cessation amène la cessation du vieillissement et de la mort?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il n'y a pas de naissance, il n'y pas le vieillissement et la mort, la cessation de la naissance amène la cessation du vieillissement et de la mort.” |
tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — ‘kimhi nu kho asati jāti na hoti … pe … bhavo na hoti. upādānaṃ na hoti. taṇhā na hoti. vedanā na hoti. phasso na hoti. saḷāyatanaṃ na hoti. nāmarūpaṃ na hoti. kissa nirodhā nāmarūpanirodho’’ti? tassa mayhaṃ, bhikkhave, yoniso manasikārā ahu paññāya abhisamayo — ‘viññāṇe kho asati, nāmarūpaṃ na hoti; viññāṇanirodhā nāmarūpanirodho’””ti . | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont l'absence fait qu'il n'y a pas la naissance (…) l'existence (…) l'attachement (…) la Soif (…) le ressenti (…) le contact (…) les organes des sens (…) il n'y a pas le Nom-et-Forme, quel est ce dont la cessation amène la cessation du Nom-et-Forme?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il n'y a pas de conscience, il n'y pas le Nom-et-Forme, la cessation de la conscience amène la cessation du Nom-et-Forme.” |
“tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — ‘kimhi nu kho asati viññāṇaṃ na hoti; kissa nirodhā viññāṇanirodho’’ti? tassa mayhaṃ, bhikkhave, yoniso manasikārā ahu paññāya abhisamayo — ‘nāmarūpe kho asati, viññāṇaṃ na hoti; nāmarūpanirodhā viññāṇanirodho’””ti. | Alors, mendiants, je me suis dit: “Quel est ce dont l'absence fait qu'il n'y a pas la conscience, quel est ce dont la cessation amène la cessation de la conscience?” Alors au moyen de l'attention judicieuse, j'eus par discernement la révélation: “Lorsqu'il n'y a pas de Nom-et-Forme, il n'y pas la conscience, la cessation du Nom-et-Forme amène la cessation de la conscience.” |
“tassa mayhaṃ, bhikkhave, etadahosi — adhigato kho myāyaṃ maggo bodhāya yadidaṃ — nāmarūpanirodhā viññāṇanirodho; viññāṇanirodhā nāmarūpanirodho; nāmarūpanirodhā saḷāyatananirodho; saḷāyatananirodhā phassanirodho … pe … evametassa kevalassa dukkhakkhandhassa nirodho hoti. ‘nirodho, nirodho’’ti kho me, bhikkhave, pubbe ananussutesu dhammesu cakkhuṃ udapādi ñāṇaṃ udapādi paññā udapādi vijjā udapādi āloko udapādi. | Alors, mendiants, je me suis dit: “J'ai découvert la voie de l'éveil, c'est-à-dire: la cessation du Nom-et-Forme amène la cessation de la conscience; la cessation de la conscience amène la cessation du Nom-et-Forme; la cessation du Nom-et-Forme amène la cessation des organes des sens; la cessation des organes des sens amène la cessation du contact; la cessation du contact amène la cessation du ressenti; la cessation du ressenti amène la cessation de la Soif; la cessation de la Soif amène la cessation de l'attachement; la cessation de l'attachement amène la cessation de l'existence; la cessation de l'existence amène la cessation de la naissance; la cessation de la naissance amène la cessation du vieillissement et de la mort, du chagrin, des lamentations, des douleurs, des déplaisances mentales et de la détresse. Telle est la cessation de toute cette accumulation de mal-être.” Et en rapport à des choses non apprises auparavant, la vision apparut, la connaissance apparut, le discernement apparut, la véritable connaissance apparut, la lumière apparut en moi: “cessation, cessation!” |
“seyyathāpi, bhikkhave, puriso araññe pavane caramāno passeyya purāṇaṃ maggaṃ purāṇañjasaṃ pubbakehi manussehi anuyātaṃ. so tamanugaccheyya . tamanugacchanto passeyya purāṇaṃ nagaraṃ purāṇaṃ rājadhāniṃ pubbakehi manussehi ajjhāvutthaṃ ārāmasampannaṃ vanasampannaṃ pokkharaṇīsampannaṃ uddāpavantaṃ ramaṇīyaṃ. atha kho so, bhikkhave, puriso rañño vā rājamahāmattassa vā āroceyya — ‘yagghe, bhante, jāneyyāsi — ahaṃ addasaṃ araññe pavane caramāno purāṇaṃ maggaṃ purāṇañjasaṃ pubbakehi manussehi anuyātaṃ tamanugacchiṃ. tamanugacchanto addasaṃ purāṇaṃ nagaraṃ purāṇaṃ rājadhāniṃ pubbakehi manussehi ajjhāvuṭṭhaṃ ārāmasampannaṃ vanasampannaṃ pokkharaṇīsampannaṃ uddāpavantaṃ ramaṇīyaṃ. taṃ, bhante, nagaraṃ māpehī’’ti. atha kho so, bhikkhave, rājā vā rājamahāmatto vā taṃ nagaraṃ māpeyya. tadassa nagaraṃ aparena samayena iddhañceva phītañca bāhujaññaṃ ākiṇṇamanussaṃ vuddhivepullappattaṃ. evameva khvāhaṃ, bhikkhave, addasaṃ purāṇaṃ maggaṃ purāṇañjasaṃ pubbakehi sammāsambuddhehi anuyātaṃ. | Imaginez, mendiants, qu'un homme se promenant dans une grande forêt voie un ancien sentier, une ancienne voie qui était utilisée par les hommes d'autrefois. Il la suivrait. En la suivant, il verrait une ancienne cité, une ancienne capitale royale autrefois habitée par des gens, avec des parcs, des bois, des lacs et des remparts, un endroit très agréable. Alors cet homme en informerait le roi ou son ministre: “Monseigneur, sachez qu'en me promenant dans la grande forêt, j'ai vu un ancien sentier, une ancienne voie qui était utilisée par les hommes d'autrefois. En la suivant, j'ai vu une ancienne cité, une ancienne capitale royale autrefois habitée par des gens, avec des parcs, des bois, des lacs et des remparts, un endroit très agréable. Sire, reconstruisez cette cité!” Alors le roi ou son ministre reconstruirait cette cité. Plus tard, cette cité redeviendrait prospère, florissante, peuplée, largement habitée, en croissance et en expansion. De la même manière, mendiants, j'ai vu un ancien sentier, une ancienne voie qui était utilisée par les véritablement éveillés du passé. |
“katamo ca so, bhikkhave, purāṇamaggo purāṇañjaso pubbakehi sammāsambuddhehi anuyāto ? ayameva ariyo aṭṭhaṅgiko maggo, seyyathidaṃ — sammādiṭṭhi … pe … sammāsamādhi. | Et quel est, mendiants, cet ancien sentier, quelle est cette ancienne voie qui était utilisée par les véritablement éveillés du passé? C'est cette noble voie à huit composantes, c'est-à-dire: la vue correcte, l'aspiration correcte, la parole correcte, l'action correcte, les moyens de subsistance corrects, l'effort correct, la présence d'esprit correcte et la concentration correcte. |
ayaṃ kho so, bhikkhave, purāṇamaggo purāṇañjaso pubbakehi sammāsambuddhehi anuyāto, tamanugacchiṃ; tamanugacchanto jarāmaraṇaṃ abbhaññāsiṃ; jarāmaraṇasamudayaṃ abbhaññāsiṃ; jarāmaraṇanirodhaṃ abbhaññāsiṃ; jarāmaraṇanirodhagāminiṃ paṭipadaṃ abbhaññāsiṃ. tamanugacchiṃ; tamanugacchanto jātiṃ abbhaññāsiṃ … pe … bhavaṃ abbhaññāsiṃ. upādānaṃ abbhaññāsiṃ. taṇhaṃ abbhaññāsiṃ. vedanaṃ abbhaññāsiṃ. phassaṃ abbhaññāsiṃ. saḷāyatanaṃ abbhaññāsiṃ. nāmarūpaṃ abbhaññāsiṃ. viññāṇaṃ abbhaññāsiṃ. tamanugacchiṃ; tamanugacchanto saṅkhāre abbhaññāsiṃ; saṅkhārasamudayaṃ abbhaññāsiṃ; saṅkhāranirodhaṃ abbhaññāsiṃ; saṅkhāranirodhagāminiṃ paṭipadaṃ abbhaññāsiṃ. | Mendiants, j'ai suivi cet ancien sentier, cette ancienne voie qui était utilisée par les véritablement éveillés du passé. En la suivant, j'ai connu directement le vieillissement et la mort, l'apparition du vieillissement et de la mort, la cessation du vieillissement et de la mort, et la voie menant à la cessation du vieillissement et de la mort. J'ai connu directement la naissance (…) l'existence (…) l'attachement (…) la Soif (…) le ressenti (…) le contact (…) les organes des sens (…) le Nom-et-Forme (…) la conscience (…) J'ai connu directement les constructions, l'apparition des constructions, la cessation des constructions, et la voie menant à la cessation des constructions. |
tadabhiññā ācikkhiṃ bhikkhūnaṃ bhikkhunīnaṃ upāsakānaṃ upāsikānaṃ. tayidaṃ, bhikkhave, brahmacariyaṃ iddhañceva phītañca vitthārikaṃ bāhujaññaṃ puthubhūtaṃ yāva devamanussehi suppakāsitan””ti. | Cette compréhension directe, je l'ai transmise aux mendiants, aux mendiantes, aux disciples laïcs hommes et femmes. Cette vie brahmique est devenue prospère, florissante, largement répandue, populaire, commune, bien exposée parmi les dévas et les humains.» |
———oOo——— Publié comme un don du Dhamma, pour être distribué librement, à des fins non lucratives. --- Le traducteur n'est pas un expert en Pali, et afin d'éviter toute erreur se réfère à des traductions déjà existantes; il espère néanmoins que les erreurs qui peuvent se glisser dans la traduction ne sont que minimes. ![]() Ce travail est sous une License Internationale Creative Commons 4.0 avec Attribution, Usage non-commercial et Partage sous mêmes conditions. |